«Le 26 mai, j'assiste à une discussion entre le fils
d'un garagiste et un ancien carrossier des Pompes
funèbres dans les bureaux du 104. Ils débattent des
mérites comparés des différentes marques de voiture
et m'apprennent que lors de l'enterrement de monsieur
Renault le corbillard était une Citroën qu'ils ont dû
maquiller pour ne pas choquer la famille.»