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Cette fois, ce n’est pas ma faute, je le jure. C’est mon ex-collègue de la bibliothèque, Jeanne Blanchette, alias la Duègne, qui m’a demandé d’aider sa sœur Agnès, obnubilée par la mort – accidentelle selon les autorités – de sa meilleure amie Mireille. En vérité, ladite sœur fait une fixation sur le message laissé sur son répondeur par son amie la veille de sa mort. Elle y évoque sur un ton catastrophé « une petite fille de la piscine » et une « face enragée », alors qu’elle sortait de son cours d’aquaforme. Or, c’est dans les cabines de la piscine que Mireille a trouvé la mort. Bref, si j’ai voulu passer quelques jours à Lévis – c’est là-bas que demeurent maintenant Jeanne et sa sœur –, c’était seulement pour poser une ou deux questions aux dames qui suivaient le cours avec Mireille. Mais voilà que mon sergent-détect’Yves adoré s’est invité à Lévis, une tentative d’enlèvement d’enfant ayant eu lieu près de l’endroit où j’habite temporairement. Comme le modus operandi rappelle un enlèvement – meurtrier, celui-là – qui s’est produit à Laval et sur lequel mon chum a enquêté sans résultat, il a décidé de venir voir ce qu’il en est. Et sans que je m’en rende compte, mes actions m’amènent – malgré moi et encore plus malgré Yves ! – au cœur de l’enquête et des pires ennuis…