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Bount Reiniger oder Meine Leiche, deine Leiche (Earl Warren)
Bount Reiniger und die Mädchenfalle Manhattan (Earl Warren)
Bount Reiniger und Liebesgrüße aus Amsterdam (Earl Warren)
Bount duckte sich unter dem Schlag weg und setzte dem Schwarzen die Faust auf die Säuferleber. »Mmmmmpf«, machte der Schläger, krümmte sich und erhielt gleich zusätzlich einen Handkantenschlag ins Genick. Er legte sich auf den Betonboden. Dann hatte Bount alle Mühe, den Mittelgewichtler mit den beiden Schlagringen abzuwehren.
Der Guard schoss blitzschnelle Schlagserien ab und zeigte tänzelnd erstklassige Beinarbeit. Sie wurde schlechter, als Bount, der zurückweichen musste, ihm kräftig vor die Kniescheibe trat.
Der Mittelgewichtler humpelte.
»Bleib stehen, du Feigling!«, schimpfte er.
Bount blieb stehen, erhielt einen Schlag von einer Dublette in die kurzen Rippen, packte den Security Guard und ließ ihn mit einem Judo-Hüftwurf durch die Luft wirbeln. Um den Guard kreiste die Tiefgarage. Er knallte gegen einen Cadillac und war erst einmal bedient.
Bount entwaffnete die zwei Uniformierten.
Der Schwarze hielt sich die Leber und stöhnte: »Whitey, du hast mir wirklich weh getan.«
»Wer hat euch auf mich gehetzt?«, fragte Bount. Als der Guard schwieg, wurde er lauter. »Antworte. Ich frage dich nicht zum Scherz.« Er hob den Ausweis empor, den er beim Durchsuchen in der Tasche des schwarzen Schwergewichtlers gefunden hatte. »Raus mit der Sprache, oder ich sorge dafür, dass ihr gefeuert werdet.«