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El libro que hizo entrar a la literatura gallega en la modernidad. Doce relatos marcados por el fatalismo y la tragedia donde hallamos ecos de Rulfo, Duras y Pavese.Cuando se publicó en 1967, «Viento herido» supuso un auténtico terremoto en el panorama de la literatura gallega, a la que hizo entrar en la modernidad. Doce relatos brevísimos pero fascinantes, gobernados por la violencia, la brutalidad y la soledad del ser humano. Un grupo de niños que tortura a otro en una especie de juego de guerra. Un anciano que observa cómo pasan los días mientras espera su final. Tabernas y tugurios de mala muerte donde se vengan fantasmas del pasado. La nostalgia de un amor perdido, la huella del tiempo posada en objetos familiares, la tristeza de un domingo por la tarde. Influido por Kafka y por Faulkner, por Vasco Pratolini y por Cesare Pavese, por Marguerite Duras y por el realismo mágico de Juan Rulfo, estamos ante un hito de la literatura peninsular del XX.CRÍTICAS«Un gran libro de cuentos, y uno de los más personales jamás escritos. En él está el verdadero Casares: el miedo, la violencia, la perturbación, la angustia.» ?Suso de Toro «Estos cuentos están dotados de un ingenio lúdico y perspicaz, y poseen una gracia que se clava en la inteligencia y que da lugar a eso tan indefinible que es la flor de la literatura.» ?Gonzalo Torrente Ballester «Casares supo armonizar como pocos la espontaneidad de la narración oral con las técnicas del relato culto.» ?Ángel Basanta, El Cultural «Con Carlos Casares, menos es más. Fue un maestro en construir de lo particular a lo general, y de lo general a lo particular.» ?César Casal, La Voz de Galicia«La obra de Casares llevó en los años setenta un aliento renovador a la literatura gallega por su cosmopolitismo y su vocación humanista.» ?Xosé Hermida, El País«Casares es una figura muy plural con registros para todos los públicos. Tuvo un importante papel para atraer a los jóvenes a la lengua gallega.» ?Víctor Freixanes, Real Academia Galega