Au bleu de la forêt
Pénétrant au bleu de la forêt de Vincent Bebert, Agnès Callu soulève les peaux culturelles et sociales de l'artiste. Puis elle dévoile la fabrication du geste du peintre, qui a fait du paysage son atelier, et déploie, à l'orénoque des soleils noirs de la mélancolie et d'une transe joyeuse, une jungle de traits a-générationnels, activant au contemporain les motifs dix-neuvièmistes d'une nature intense hachurée par le « bruit et la fureur » des éléments.