Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
»Vor den Abendnachrichten« versammelt zwei Erzählungen Peter Kurzecks, die auf ganz unterschiedliche Weise das Voranschreiten der Zeit und das Unterwegssein umkreisen. Ach Deutschland, ein Tryptichon führt den Erzähler auf Reisen. In Locarno versucht er einen Brief an seine Freundin zu schreiben, die erst mit-, dann nach- und schließlich doch nicht kommen möchte. In den Achtzigern unterhält er sich über die Liebe an einem Küchentisch in Edenkoben, und ein Straßenreiniger imaginiert eine schlaflose Nacht in Erzurum. Die Szenen schildern das Ringen zwischen Rastlosigkeit und der Sehnsucht anzukommen. In der titelgebenden zweiten Erzählung macht sich ein Dorf auf die Suche nach dem verschwundenen Gemeindediener, und ein Bürgermeister sinniert über das Wesen der Zeit. Der zwei Kapitel umfassende Text war als Teil des Romans »Kein Frühling« geplant, hatte es jedoch nicht in die erste Auflage geschafft. Ergänzt werden die beiden Texte von Bianca Dörings poetischem Nachwort »Doch noch Locarno« und einer Nachbemerkung von Alexander Losse und Rudi Deuble.