Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris,
le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan.
Accablé par la perte, il n'a qu'une arme : sa plume.
À l'image de la lueur d'espoir et de douceur que fut
sa lettre «Vous n'aurez pas ma haine», publiée au
lendemain des attentats, il nous raconte ici comment,
malgré tout, la vie doit continuer.
C'est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre
un père et son fils, qu'il nous offre. Un témoignage
bouleversant.