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Directeur-adjoint de l'hebdomadaire "Minute", auquel il collabore depuis dix-huit ans, Jean Bourdier n'a jamais passé précisément pour un homme de Gauche. Non plus que pour un tendre, lorsqu'une plume lui tombe sous la main. Avec l'avènement, Mitterrand aidant, de la première République surréaliste française, la tentation de se rendre - une fois de plus agréable - était vraiment trop forte pour lui…
Les liens traditionnels de notre pays se sont sérieusement relâchés avec les États-Unis d'Amérique. Le ministre des Relations extérieures en a bien conscience, et il a trouvé la riposte idoine : nous allons, pour combler ce vide dans nos alliances, nous rapprocher de la République populaire de Guévarie, État en flèche d'Amérique du Sud, comme chacun sait. Cette République de Guévarie est toute fraîche en socialisme. Ses leaders souhaiteraient trouver un modèle, des exemples qui les aideraient à décider les bons choix. Or, le modèle chilien - type Allende - n'a plus cours, le prototype cubain a bien vieilli et le parangon polonais prête à discussion. En revanche, le modèle français, avec ce qu'il a encore de nouveauté juvénile et de fougue néophyte, malgré quelques mois de pouvoir, ne peut manquer d'apporter d'utiles enseignements à qui porte le cœur vraiment à Gauche. C'est ainsi que le Commandante Machito est désigné par les Pères de la Guévarie pour rapporter - de notre beau pays - de bonnes idées trempées par l'épreuve des faits. Cet ambassadeur guévarien in partibus veut tout voir, tout découvrir, identifier et goûter la manne de progrès que nous ont dispensés sans compter – pour ça, oui, vraiment sans compter ! – les nouveaux messieurs qui nous gouvernent. C'est à partir de là que les étonnements commencent…