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Mit seinem Gedichtband "was Petersilie über die Seele weiß" legt Alexandru Bulucz ein Buch voller Begegnungen vor. Neben Briefen als Ausschnitten aus Geistergesprächen finden sich darin auch Schreiben an den Verleger. Zu den Angesprochenen gehören Welimir und Antonin, Crescentia und Rose. In der Annahme, dass eine generationen-, geographien- und kulturenübergreifende Teilhabe am Anderen ohne einen Versuch zur Selbstüberwindung nicht gelingen kann, überführt der Dichter individuelle und kollektive Gedächtnisse in langzeilige Kurz- und Langgedichte, archiviert mit seinen Dialogpartnern Erinnerungen und geht mit ihnen Fragen zu Abschied und Trauer, Dankbarkeit und Religion sowie den existenziellen Dimensionen kulinarischer und digestiver Metaphern nach. Es sind Gedichte, die aus Erzählgebilden hervorgehen, mal humorvoll, mal ironisch oder bitter, mal narrativ, mal metrisch oder rhythmisch - wie die Klänge jener orthodoxen Mönche, die, mit Holzhämmern auf Stundenhölzer schlagend, ihre Rufe zum Gebet improvisieren.