Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Yellow Music is the first history of the emergence of Chinese popular music and urban media culture in early-twentieth-century China. Andrew F. Jones focuses on the affinities between "yellow" or "pornographic" music-as critics derisively referred to the "decadent" fusion of American jazz, Hollywood film music, and Chinese folk forms-and the anticolonial mass music that challenged its commercial and ideological dominance. Jones radically revises previous understandings of race, politics, popular culture, and technology in the making of modern Chinese culture. The personal and professional histories of three musicians are central to Jones's discussions of shifting gender roles, class inequality, the politics of national salvation, and emerging media technologies: the American jazz musician Buck Clayton; Li Jinhui, the creator of "yellow music"; and leftist Nie Er, a former student of Li's whose musical idiom grew out of virulent opposition to this Sinified jazz. As he analyzes global media cultures in the postcolonial world, Jones avoids the parochialism of media studies in the West. He teaches us to hear not only the American influence on Chinese popular music but the Chinese influence on American music as well; in so doing, he illuminates the ways in which both cultures were implicated in the unfolding of colonial modernity in the twentieth century.