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Wie eine ganze Reihe Mallarmé huldigender Dichter evoziert auch Bonnefoy in seinem Grabgedicht Tombeau de Stéphane Mallarmé zunächst das Bild des in seinem Segelboot über die Seine bei Valvins gleitenden Mallarmé. Doch Bonnefoys Gedicht erschöpft sich nicht in der Evokation dieses beinahe schon stereotypen Erinnerungsbildes des Dichters, das auch Mallarmé selbst in autobiographischer Absicht von sich zeichnet. Vielmehr wird es von einer Fülle weiterer Mallarméscher Verfahren und Topoi, bis zur Verwendung Mallarmé heraufbeschwörender Vokabeln bestimmt. Der Kommentar verfolgt darüber hinaus die verborgene photographische Spur und zeigt, wie Dichtung und Photographie einander zur Metapher werden.