«Je m'étais si bien habitué à n'avoir pas de
père que j'éprouvais, en repensant à mon tête-à-tête
avec Zardosht, cette sensation pénible que
provoque le retour des morts. On sent qu'une loi
a été violée, qu'un ordre est rompu, mais on n'ose
s'avouer que le désordre ne peut pas durer, qu'il
est inacceptable... On dissimule un couteau dans
la poche de son manteau, et l'on prie pour que le
mort soit vraiment mort.»