Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Le titre énigmatique que Nino Frank a placé à l’entrée de sa galerie de portraits, le lecteur en trouvera l’explication dans l’hommage, savoureux et pittoresque, ici rendu à Pierre Mac Orlan. Pour ledit lecteur, en même temps que pour les admirateurs du diable qui s’était fait ermite à St-Cyr-sur-Morin, la surprise sera de taille. Bien d’autres révélations attendent ceux qui, pour la première fois, vont regarder avec les yeux de Nino Frank quelques-uns des grands artistes de notre époque : James Joyce, que Nino Frank a fréquenté pour en partie le traduire ; André Malraux avant qu’il devienne Malraux majuscule ; Léon-Paul Fargue, qu’il accompagnait parfois dans ses explorations nocturnes ; le Blaise Cendrars des dernières années ; Max Jacob, qui a influencé tant de poètes et d’écrivains devenus fameux ; les Américains de la première après-guerre, Parisiens de transit : Scott et Zelda Fitzgerald, Hemingway, Henry Miller ; les Russes Ilya Ehrenbourg et Isaac Babel ; et, bien sûr les Italiens : le grand Pirandello, Alberto Savinio, Massimo Bontempelli. Sans parler des peintres, des musiciens. Tous ces artistes notoires, parfois célèbres, le jeune journaliste recevait leurs confidences, le traducteur les transportait d’une langue dans une autre, le rédacteur en chef d’une revue, Bifur, qui a contribué à façonner notre modernité, les publiait. Les souvenirs de Nino Frank, qu’un petit nombre de lecteurs connaît par des publications antérieures, valent encore et surtout par la manière dont l’auteur les rapporte : sans complaisance à l’égard de lui-même et des autres, mais avec cette ouverture de cœur et d’esprit, ce talent d’écrivain qui le placent lui aussi parmi ces personnages hors du commun.