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1.Ich kann nichts wirklich gut. 2.Ich bin einsam. 3.Ich habe meinen Glauben verloren.
Christian Beyer ist Mitte 50 und zieht ein ernüchterndes Lebensfazit. Ende der achtziger Jahre tritt er wie selbstverständlich in die Fußstapfen seines Vaters, eines oppositionellen und beliebten evangelischen Pfarrers im Dresdner Umland, doch noch während des Theologiestudiums in Leipzig wird ihm klar, dass er weder über Leidenschaft noch ausreichend Begabung für diesen Beruf verfügt. Er ist bestenfalls Mittelmaß. Anders als seine Schwester Lydia, Liebling ihres Vaters.
Nun, zehn Jahre vor dem Ruhestand, steht Christian vor den Trümmern seines Lebens – allein, desillusioniert, gestrandet in einer Gemeinde am Rande des Leipziger Tagebaus.
Um Kraft für die letzten Dienstjahre zu schöpfen, reist er nach Rom und trifft dort auf Al, einen undurchsichtigen Mann, der sich ihm aufzudrängen und bei der Bewältigung seiner Probleme helfen zu wollen scheint.
Al weiß erstaunlich viel über Christian, und dieser fragt sich zunehmend, was Al, der Fremde, im Schilde führt.