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Algo de fiebre se publicó en la primavera de 1973. Fue el único libro en prosa que editó Sandro Penna, quien en ese momento tenía 67 años. Pier Paolo Pasolini -que fue siempre un gran defensor de la poesía y de la persona de Penna- escribió un encomiástico artículo sobre el libro, que se publicó en Tempo el 10 de junio de 1973. El artículo (que glosa la Italia descrita en los relatos y prosas de Penna) empieza con esta frase, voluntariamente provocativa, aunque explicada adelante: ¡Qué maravilloso país era Italia durante el periodo del fascismo e inmediatamente después! Penna, en efecto, habla en sus textos (más pequeños relatos líricos que poemas en prosa) de sus vagabundeos por un país precapitalista -años 30 y 40- donde aún existe una vida en cierto modo primitiva, popular, y donde el pueblo no se confunde aún con la burguesía. Es esa Italia limpia de capitalismo, donde la represión actúa al nivel burgués mucho más que al popular, y donde por ello surge una gente abierta y pobre y unos muchachos marginados, aburridos y fácilmente pansexuales, el país que describe -siempre en trazos intensos y breves- P