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Madrid, 1901. Juan Ramón Jiménez ingresa en el Sanatorio del Rosario tras su paso por la Maisón de Santé du Castel d?Andorte, en Le Bouscat (Burdeos). La muerte de su padre le ha provocado una neurastenia de la que ya no se recuperará nunca. Solo la escritura, su relación amorosa con una novicia del sanatorio y las visitas de algunos amigos ilustres parecen remediar temporalmente su melancolía. En este ambiente aparecen Rimas (1902) y Arias tristes (1903), que la crítica del momento recibe con los brazos abiertos a través de numerosos artículos de prensa. El primero de los títulos llega a Lima y, desde allí, una admiradora escribe a Jiménez solicitándole el envío de Arias tristes, inencontrable en Perú. El joven poeta accede y, sin medir las consecuencias, pasa a simultanear dos relaciones: la que mantiene con la novicia en el mundo real y la que su deseo le hace construir en el blanco de las cartas.