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Die Essaysammlung An-denken der Komparatistin Sarah C. Schuster widmet sich nicht nur dem Andenken an große Dichter und Denker – von Johann Georg Hamann über Virginia Woolf, Franz Kafka, Paul Celan und Ilse Aichinger bis hin zu William Burroughs – sondern denkt auch an gegen das Vorurteil, es gäbe Gewissheit oder gesichertes Wissen, und setzt es der Sprache aus. Die Dauer der sprachlichen Bewegung kann sowohl Augenblick als auch Ewigkeit sein. Es ist die Aufmerksamkeit des Lesenden, die die Welt bewegt, in der wir leben. Jenseits der Grenzen der Anschauung muss sich weiterbewegt, muss weitergedacht werden. Die Sprache muss zum Ende der Sprache gehen, um über das Ende der Sprache hinauszulaufen und nicht an ihrem eigenen Ende ankommen zu müssen. "Wie die Zu-Ende-Führung der Welt ist das Leben ein Sich-zu-Ende-Sprechen. Das Zu-Ende-Sprechen der Sprache des Selbst ist aber niemals uns selbst, sondern immer einem Anderen überlassen", schreibt Schuster. "Der Tod ist eine Möglichkeit in der Welt, doch muss der Tod als Möglichkeit gleichsam auch eine Unmöglichkeit bleiben, zumindest so lange, wie gesprochen – wie gedacht wird. Der Tod kommt als das Unerwartete, das warten muss, und zwar bis das letzte Andenken aufhört zu denken." "Es ist Sache der Philologie, in jedem ,und so weiter' ein ,nicht so weiter', ,nicht und', ,anders als so' wahrzunehmen, zu realisieren, zu aktualisieren." Werner Hamacher