« Quoi de plus émouvant, quoi de plus électrisant dans la poésie et la philosophie surréalistes d'André Breton que la métaphore du signe ascendant ? », interroge Joël Cornuault dans son essai. Elle est capable de conduire, poursuit-il, « droit au coeur de la sensibilité personnelle d'André Breton. Et dans le secret de sa conception du surréalisme ».
Pourquoi, dans ces circonstances, « un thème magnifique, demeuré en pleine effervescence «, est-il généralement si méconnu ?
Telle est la question qui sous-tend l'ensemble de ces réflexions passionnées.
Le livre, dont l'auteur ne cache certes pas son attrait pour la chambre aux prestiges du principal animateur du surréalisme, est accompagné d'un long poème intitulé « Cette fraîcheur dont nous sommes avides ».