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Avec ce nouveau volume : « De Félix Gouin à Emmanuelle (1945-1980) », Jean-Jacques Pauvert termine la période contemporaine de son entreprise, puisque les lectures érotiques qu'il nous propose, s'échelonnent maintenant de 1905 à nos jours. L'accélération de l'Histoire depuis la dernière guerre, le règne, puis la disparition (relative) des censures et des tabous dans le monde occidental, l'évolution des mœurs à l'Est et à l'Ouest, la révolution sexuelle, la transformation (réelle ?) de l'amour, physique ou non, comment ont-ils laissé leur trace dans les écritures, les lectures érotiques de nos contemporains ? Et que s'est-il passé exactement - pendant ces trente-cinq dernières années - dans le domaine amoureux ? Il est parfois curieux d'y aller voir, de faire des découvertes dans le temps et l'espace : "Comment, c'était hier ? Et je croyais que le Japon… C'était là, ou ici, c'était hier, à peine. Nous l'avons quelquefois vécu, sans nous en rendre compte. Et demain ? " Mais, pas plus qu'avec le précédent, il n'est nécessaire de se poser tant de questions, pour prendre plaisir à la lecture d'un volume, qui est toute une bibliothèque érotique à lui seul. Une presse unanime : L'express : « Je lis ce livre avec curiosité, étonnement, je me sens propulsé dans un monde que j'ignorais jusqu'à présent. » Arrabal
Le monde : « Telle qu'elle se présente, la série promet de servir la liberté, l'intelligence. Elle mérite de figurer au premier rayon de toutes les bibliothèques sincères, c'est-à-dire vouées au plaisir. » Bertrand Poirot-Delpech
Le matin : « Quel talent d'écrivain… Un gigantesque travail fait avec drôlerie et plus qu'intelligence… » Françoise Xenakis
Le point : « Voici 748 pages, où jamais l'attention ne retombe, où jamais ne vous gagne une once d'ennui. Un guide hors pair… » Jean-Michel Royer
Elle : « Jean-Jacques Pauvert philosophe de l'érotisme. Rougissez, réfléchissez, n'écoutez pas le diable, écoutez Jean-Jacques Pauvert. » Pierrette Rosset
Le nouvel observateur : « On dira bientôt "Le Pauvert" comme on dit "Le Larousse" Piller Pauvert, ou plutôt puiser dans ses connaissances, est, à vrai dire, un délice… » Pierre Affame
Le magazine littéraire : « Ce chef-d'œuvre (à la lettre), par lequel Pauvert replace - au cœur de la littérature - ce dont essentiellement elle procède : le désir. » Jean-Pierre George