Le chirurgien Lenz Buchmann n'est pas un
homme bon. Dans son monde, la maladie est
une anarchie cellulaire, le bistouri une arme. La
compassion est un sentiment superflu. Avide
de pouvoir et de combats, il abandonne la
médecine pour la politique. Son credo : ne
jamais perdre le contrôle, refuser l'irrationnel.
Rester fort quoi qu'il en coûte. La peur est
illégale. Et si le cancer venait à le ronger ?