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« Où situer Aragon, entre la soumission et l’esclandre ? C’est toujours un jeune homme qui se récrie et qui se déplore : tout ce que je sais je l’abaisse. C’est celui-là, lui et lui seul, qui m’importe et qui me demeure incompréhensible. Je rêve, pour Aragon, d’un éloge impitoyable et doux, d’un hymne moqueur, d’un chahut qui s’enflerait en ovation soudaine. Rien de dicté : des murmures et des verres qui se brisent comme un éclat de rire. Rien de pesé ni de décent ni d’équitable. » Frédéric Ferney donne le ton : ce livre ardent n’est ni un ouvrage commémoratif ni une biographie mais un pamphlet à rebours, amoureux et rêvé. Pour Aragon, il n’y a pas d’un côté vivre, de l’autre écrire : il n’y a dans la supercherie ou dans l’extase qu’une seule façon d’exister. Aragon (1897-1982), ce contemporain capital, est celui qu’on préfère haïr. Pourquoi ?