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Dass Amerikaner ihre Kinder in den »kindergarten« schicken, dass sie sich vor »doppelgangern« fürchten und gerne »schnit-zel«, »pretzel« und »wurst« verzehren, dürfte allgemein bekannt sein. Aber wer weiß schon, dass sich nicht nur Bergsteiger, sondern auch Einbrecher oder Fensterputzer in England, Australien und Südafrika auf »abseiling« verstehen? Matthias Heine trägt in seinem Buch 80 informative und unterhaltsame Geschichten von deutschen Wörtern zusammen, die erfolgreich Lücken in anderen Sprachen besetzt haben. Auf Samoa tankt man »penisini« (Benzin), auf Papua-Neuguinea nutzt man die »supkar« (Schubkarre) und für die Inuit hat die »minuti 60 situnti«. Kurios wird es, wenn andere Sprachen einen Germanismus nutzen, wo wir uns für einen Anglizismus entschieden haben. So nennen die Franzosen einen katastrophalen Absturz der Aktienkurse »krach«, während bei uns »Crash« das deutsche Wort fast verdrängt hat. Was wir im Computerjargon »Firewall« nennen, heißt bei den Russen »brandmauer« und im Englischen bekommt man keinesfalls einen »Shitstorm«, sondern »flak« - Matthias Heine weiß wieso.