« Puisque Dieu ne me parlait plus - m'a t-il seulement un jour parlé ?, j'en doute maintenant -je me suis mis à crier : je ne connaissais pas en moi cette rage. »
C'est le récit d'une « dé-route ». La vie semblait tracée. La foi était devenue une évidence. Soudain Dieu se tait. Il faut alors tenir. Dans le petit monastère bénédictin où l'auteur a séjourné pendant plusieurs mois s'est ouvert un chemin inattendu : un autrement de la vie et de la foi. Plus simple à comprendre mais pas plus facile. À défaut de voir le ciel s'ouvrir, il s'agit de devenir plus humain. Il reste à « partir vers ce qui arrive ».