Il y a Alice qui n'aime ni Paris, ni le métro, ni les petits encarts de poésie qui y sont affichés. Qui n'a guère d'autre choix que de faire avec, cependant. Alors elle râle. Pas toujours.
Il y a Nadya qui souvent marche sur un fil, et qui boit ces quelques vers arrachés au métro comme si sa vie en dépendait. Elle en dépend peut-être. Allez savoir... Et entre les chassés-croisés de Nadya et d'Alice, se glissent d'autres histoires avec un soupçon de poésie, et sans métro.