Avec les garçons
« Je crois que tout a commencé avec les garçons : le langage, le corps, la respiration, mais aussi l'attente et le chagrin. Puis, les garçons sont devenus des hommes, mais je n'ai pas vu la différence. »
Soixante-sept fragments et deux nouvelles se font l'écho intime du mouvement amoureux. Brigitte Giraud nous offre cette langue universelle qui touche plus qu'elle ne parle, qui a comme points cardinaux le désir et l'attente mais aussi l'arrachement et la perte.
« Un très beau livre... Oui, il y a de l'Annie Emaux et du Françoise Hardy en Brigitte Giraud. » ¤ Le Dauphiné Libéré