Pas de négociation !
On veut tout C.R.S. = Détresse !
Nos CRS ont des souvenirs plutôt mitigés de leurs années passées sur les bancs de
l'école, mais «C'est pas parce qu'on est des brutes qu'on n'a pas de respect pour
l'éducation !» clame notre Eugène Lacrymo préféré Cette fois-ci, nos gardiens de
l'ordre préférés vont avoir à faire à forte partie : des étudiants ! Du petit jeune qui
arrondit ses fins de mois en ramassant des pêches aux manifs de profs en furie sur
qui on va enfin se venger de tout ce qu'on a subi pendant notre enfance, nos CRS
ont affaire à forte partie ! On n'oublie pas au passage d'arracher la dent d'un
collègue grâce au «coup de la porte», de faire sauter les valises d'un futur jeune
marié, alliances comprises, et d'oublier d'éteindre son portable pendant la
revue... Sans oublier de charger un Écossais tout seul, mais dangereux quand
même, avec son tronc d'arbre, et de tester un nouveau bouclier thermique en fonçant
violemment dedans (aie !), ou une matraque à décharges électriques
(ahbobo !). Heureusement que bobonne est là pour régaler notre Eugène de
chipolatas à la romaine, hélas pas facile à digérer d'où un cauchemar aux jeux du
cirque digne d'Asterix ! Tout ça pour finir par affronter des pompiers armés de
trombes d'eau et de neige carbonique. Et on soigne ses ecchymoses à l'hôpital, où
on constate qu'un doigt de CRS fille est aussi efficace qu'un poing de CRS-homme...