Béni s'est choisi ce drôle de nom pour ne pas se faire appeler Ben Abdallah, qu'il se sent «obligé de porter comme une djellaba toute la journée en classe».
Béni est français. Ses parents, algériens. Et la société, compliquée. Alors, quand on lui demande d'où il vient, il répond qu'il est «d'origine humaine», pour rire... Contre le racisme ordinaire, un seul antidote: la rage de vivre.
Un roman tendre et plein d'humour, par l'auteur du Gone du Chaâba.
«Quand j'étais pas plus haut qu'une merguez, la maîtresse avait déjà remarqué mes dons de comédien.»
«Une enfance qui ne demande presque rien: juste un peu moins de préjugés.»
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