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Jörg von Westhof stand am Ende des Wäldchens, das zu seinem Gut gehörte und das sich im Sommer, wenn Fingerhut und Lupinen blühten, in ein leuchtendes Märchen verwandelte.
Er blickte auf das Gut, das zu seinen Füßen lag, und sein eben noch so heiteres Gesicht verschattete sich.
Der altvertraute Anblick schien ihm fremd und unwirklich.
Sein Blick hing an dem weißen Herrenhaus, dessen Fenster hell aufblitzten im Sonnenlicht. Ihm war es, als senkten sich plötzlich dunkle schwere Wolken auf das Haus und hüllten es ein.
Mit einer ungeduldigen Bewegung strich er sich über die Augen.
Was war heute nur mit ihm? Warum war ihm so schwer ums Herz, als käme eine Gefahr auf ihn zu, der er nicht mehr ausweichen konnte?
Unruhig tänzelte der Rappe neben ihm und scharrte mit den Hufen. Sein Kopf flog hoch. Er riß an den Zügeln, während er leise schnaubte.
Jörg wandte sich dem Rappen zu und nickte, als verstände er dessen Ungeduld.
»Hast ganz recht, Stromer, wenn du ungeduldig wirst. Mir langt es auch. Wo sie heute nur bleibt? Ist doch sonst nicht ihre Art, unpünktlich zu sein.« Er warf einen Blick auf seine Uhr und fuhr dann in seinem Selbstgespräch fort: »Warten wir noch zehn Minuten. Ist sie bis dahin nicht erschienen, reiten wir runter und sehen, warum sie uns hier warten läßt, wie bestellt und nicht abgeholt.«
In der Ferne klang Hundegebell auf. Der Rappe spitzte die Ohren und wieherte freudig auf.
Ihm schienen die Laute bekannt und vertraut zu sein.
Nun sah auch Jörg den Schatten, der plötzlich zwischen den Bäumen aufgetaucht