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Apenas un puñado de poemas podría atribuirse con certeza al legítimo Omar Jayyam, como señala Sadeq Hedayat. El resto es suposición e impostura, si consideramos que el manuscrito más antiguo conservado data de 1360 y es por tanto cerca de tres siglos posterior a la obra original. Para entonces, los anónimos creadores que tenían, en tiempos de supersticiosos dogmas, una visión urgente y desesperanzada de la vida, ya se protegían del reproche moral y la sanción pública en la casa común de Jayyam. También los que querían dar prestigio y fama a su obra. Quienes necesitaban salvar al poeta de sí mismo con una interpretación sufí incorporaron textos que avalasen una lectura piadosa y redentorista. Entre todos fueron creando la obra de Omar Jayyam, tan razonablemente compleja como milagrosamente unitaria; obra que, a falta de canon seguro, crece regenerándose y ramificándose desde su oscura y fértil raíz. La fugacidad de todo paso por la tierra ?ese lujo de dioses reservado a los mortales?, el tamaño de nuestra ignorancia e insignificancia, las astucias de una vida dignificada, el silencio divino ante el clamor humano, la tajante ejecución de la pena de muerte, la turbia búsqueda del amor y su concreta felicidad? Nadie se sentirá extraño a unos versos que hablan de lo que más importa, que se hacen eco de nuestras inquietudes vitales. Javier Almuzara