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Depuis dix ans, professionnellement, Philippe Bouvard hante les coulisses et la scène de la vie parisienne. Son bleu de travail, c’est le smoking. Ses horaires de « bureau » correspondent à la durée des galas, des générales et des premières. Lorsqu’il a un jour de repos, il passe la soirée chez lui avec cette frénésie que d’autres mettent à sortir de temps en temps pour rompre la monotonie des jours. Depuis dix ans aussi, Philippe Bouvard fait des « papiers parisiens ». C’est-à-dire qu’il distille dans les colonnes d’un grand quotidien du matin, Le Figaro, des propos badins, quelquefois venimeux, mais où le poison lui-même se doit d’être mousseux comme le champagne qui sert de doping obligatoire à toutes les manifestations du « gai Paris ». Parfois aussi, se dégageant du tourbillon mondain, changeant de département, il aborde à d’autres rivages et se trouve saisi par des inquiétudes qui, sans être métaphysiques, l’amènent à se poser des questions sur des problèmes autres que ceux engendrés par la chute d’un vaudeville ou la mort d’un vieux comédien. Il était fatal qu’un jour, il s’aperçoive qu’on ne peut pas tout dire dans un journal. Pendant un an donc, du 1er janvier 1961 au 31 décembre de la même année très exactement, il a noté chaque matin ses impressions de la veille. Ces Carnets mondains sont à base d’« indiscrétions subjectives ». On y trouvera ce que l’auteur n’a pas pu ou pas voulu dire le jour-même.