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El IV Centenario de la muerte de Cervantes (en cuyo Programa Oficial ha sido incluido este libro) es una ocasión idónea para reflexionar sobre la dimensión jurídica de la obra cervantina. En ella lo jurídico tiene una presencia constante y muy relevante. Ahora bien, este libro no pretende estudiar el Derecho vigente en época de Cervantes, sino que procura trasladar a nuestra realidad jurídica actual la ideas y cuestiones jurídicas de sus relatos: la justicia, la defensa de la dignidad humana, las relaciones matrimoniales y de familia, el libre albedrío y la responsabilidad, la corrupción, el buen gobierno, la criminalidad organizada, la guerra justa, las garantías procesales, las relaciones laborales, la igualdad de género, la justicia social, etc. El libro contiene veinte capítulos que se agrupan en tres partes. La más extensa ?con doce capítulos? se dedica al Quijote. Participan aquí especialistas pertenecientes a diez áreas de conocimiento jurídico, lo que permite mostrar la extraordinaria riqueza y diversidad de los conflictos y situaciones jurídicas que muestran las aventuras del ingenioso hidalgo. La segunda parte comprende el estudio de cinco novelas ejemplares (La gitanilla, Rinconete y Cortadillo, El licenciado Vidriera, La señora Cornelia y El casamiento engañoso). Y la última parte incluye el análisis de tres entremeses (El juez de los divorcios, La elección de los alcaldes de Daganzo y El retablo de las maravillas). Además de la reflexión jurídica, el libro tiene como objetivo servir a la docencia en el convencimiento de que leyendo a Cervantes se puede aprender Derecho. Por ello, cada capítulo contiene una propuesta de actividades para el aprovechamiento docente de los textos cervantinos. Con todo ello la obra aspira a alcanzar ese buen fin que, según el genial alcalaíno, deben pretender los escritos: «enseñar y deleitar juntamente».