C'était Chirac
« Arrivé devant la portière de son "automobile", comme il disait, il lâcha mon épaule et me tendit sa main droite. Il proposa que l'on se revoie bientôt. Je ne l'ai plus revu. Quelques jours plus tard, mon fils est né. J'ai découvert sur mon téléphone un message provenant d'un numéro inconnu. C'était lui. Chirac. De sa voix mémorable, il disait vouloir parler à mon fils, pour lui souhaiter la plus belle des vies. »
Saïd Mahrane