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Luigi Di Ruscio tisse un roman protéiforme sur ses années de jeunesse dans l’Italie de la Seconde Guerre mondiale jusqu’aux années 1960, entre fascisme, résistance et reconstruction. Poète autodidacte, il met en scène joies buissonnières et déboires scolaires, jeunesse vagabonde et furibonde avec son compagnon d’infortune Moscatritata, vendeur de christs en plâtre pulvérisés de faux bronze. Instituteurs et curés, éditeurs et critiques : toutes les autorités seront bafouées dans un texte qui se moque des règles, qui se joue de la langue et des mots ; le roman de formation du jeune écrivain se fait alors manifeste poétique et autobiographie littéraire.
Né à Fermo dans les Marches en 1930 et mort à Oslo en 2011, Luigi Di Ruscio publie son premier recueil de poésie à 23 ans, Non possiamo abituarci a morire (Nous ne nous habituerons pas à mourir, préface de Franco Fortini). Son second recueil, Le streghe s’arrotano le dentiere (préfacé par Quasimodo), paraît 13 ans plus tard. Entre-temps, le poète a émigré à Oslo et trouvé un emploi dans une usine sidérurgique. Il a rencontré Mary Standberg, avec qui il aura quatre enfants. Employé à l’usine pendant près de quarante ans, Di Ruscio retrouvait sa machine à écrire chaque soir pour composer ses dix recueils de poésie et trois ouvrages en prose : Palmiro, Christs pulvérisés et La Neige noire d’Oslo.