« La droite ne s'est pas méfiée. Elle ne s'est pas remise en question. Elle pensait que tout allait changer pour que rien ne change.
Ça, c'était le scénario prévu. Mais tout s'est déréglé...
J'ai eu la chance d'être le témoin, modeste, mais privilégié, de ce moment où toutes les certitudes du monde d'avant ont été emportées. Ce moment où la droite n'a pas vu qu'elle allait perdre l'imperdable. Ce moment où elle s'est finalement perdue.
Écrites au fil de ces mois, voici les chroniques subjectives d'un moment politique exceptionnel. »
G. D.