Chroniques de Plovdiv : tribulations d’un breton en Bulgarie.
Souvenirs pittoresques chargés d'humour et d'autodérision de la découverte de la Bulgarie - et en particulier de Plovdiv - par un artiste français tout autant que breton.
Les sujets de prédilection de ce carnet de voyage sont les femmes et les artistes bulgares, mais aussi les chauffeurs de taxi, éternels ennemis d'un cœur de Roméo ...
Au fil des anecdotes, c'est un arrêt-image - ou plutôt un arrêt-collage, puisqu'il est question également de l'art du collage dans cet ouvrage, sur la Bulgarie quelques années avant son entrée officielle dans l'union européenne.
Il ne faudrait pas penser que ce livre, ce carnet de voyage consacré aux femmes et aux artistes Bulgares soit une vision ferme et définitive sur la Bulgarie en général et ses habitants en particulier.
Tout d'abord, elles sont nées du hasard d'une rencontre, une rencontre qui fut suivie d'une demande : écrire en tant que français des articles sur la Bulgarie pour une News Letter ...
C'est par cette demande que furent écrits ces modestes feuillets.
Les rassembler sous un titre global - mais très approximatif - me semblait être une bonne chose...
Mon intérêt pour Plovdiv, ma sympathie pour le peuple bulgare qui a tant souffert à travers son histoire, m'a amené à faire des recherches, à lire des ouvrages, des articles, d'établir des échanges d'opinions à travers divers sites internets bulgares, etc.
Cela m'a permis de mieux comprendre, du moins je l'espère, l'attitude de mes amis bulgares, leur façon de réagir, leur silence et leur non-réponse à certaines de mes questions.
Pour cette série d'articles j'ai choisi la position radicale de ne pas m'apitoyer sur le peuple bulgare, mais plutôt de le secouer sous diverses facettes.
Il ne faudrait pas croire que je me place en tant que juge, et en tant que français, je ne suis rien pour juger autrui, et quant à ma nationalité je rappellerai qu'un grand connaisseur du peuple français - le Général de Gaulle, pour ne pas le citer - avait cette sentence sans équivoque : les français sont des veaux !
Et si parfois certains Bulgares peuvent trouver mes articles un peu vaches, j'en suis désolé, mais il ne fallait rien attendre d'autre provenant d'un veau.