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Jean Willi erzählt in seinem neuen Roman von Alex, der seine Jugend in Basel verbrachte (»Sweet Home«, Verlag Ricco Bilger 1999) und in den Siebzigerjahren nach einer Afrika-Reise auf Ibiza gestrandet ist. Hier lebt er auch im Frühjahr 2020 noch, als der Lockdown die Partyinsel still werden lässt, ein »ewiger Aussteiger« oder »Hippie mit Kreditkarte« ..."Dort, wo die Pinien enden, und das kleine Tal beginnt, steht das Haus von Alex. Von der Terrasse aus öffnet sich der Blick auf das Tal mit seinen Oliven, Mandelbäumen und Trockensteinmauern. Dahinter ist die Hügelkette zu sehen, die das kleine Dorf wie eine Krone schmückt. Und noch etwas weiter das Meer, in dem an den meisten Abenden die Sonne versinkt.Dort oben verbringt Alex die Monate der Pandemie. Er erzählt von der Abgeschiedenheit, und wie er sie mit seinen Nachbarn und Freunden lindert. Er beschreibt, wie die Tage vergehen und immer mehr miteinander verschmelzen. Mit seiner sorgfältigen, lakonischen Sprache beschwört er eine Stimmung herauf, die auch anhielt, wenn ich das Buch einmal beiseitelegte.Den Bildern, die er schreibt, merkt man an, dass der Autor sein Leben lang auch mit Pinsel und Leinwand umging. Und den Pointen, die immer wieder aufblitzen, dass er weiß, wie man die Melancholie im Zaum hält."Martin Suter