Aujourd'hui, on qualifierait facilement d'obscurantiste l'époque où l'on niait l'âme de certains êtres
humains pour mieux les exploiter.
Aux pays de l'animal-machine, force est de constater qu'on refuse aux animaux une conscience
lorsqu'il s'agit de justifier leur meurtre.
Cet ouvrage s'attache à dénoncer cette opinion et apporte un nom à l'impossibilité pour nombre
d'humains d'accepter une pensée animale : il s'agit de la mentaphobie.
Cet essai, par une démonstration rigoureuse, à l'appui de textes philosophiques et d'études scientifiques,
nous permet de réfléchir autrement notre rapport aux animaux.