Ces « conversations » avec ChatGPT sur des sujets clefs comme ce que sont l'homme, le monde, Dieu et ladite « intelligence artificielle » montreront surtout, par défaut, ce qu'il ne faut pas en attendre.
L'introduction rappelle qu'une puissance mentale (privée d'intelligence - au sens que la philosophie lui a de tout temps donné) porterait mieux le nom de RA, « raison artificielle », limitant les risques de confusion, ce que ChatGPT quasiment admet.
Dans sa postface, Johannes Hoff reconnait que la « transformation numérique a provoqué une dévastation de la diversité mentale » et propose de « cultiver le don de l'intelligence humaine » ; don qui nous dote « d'un « sens de l'être » en nous rendant sensibles au monde que nous habitons, enrichissant ainsi chacun d'entre nous d'une perspective unique sur nos origines et sur l'avenir vers lequel nous nous dirigeons ».