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»Verehrte Lauscher und Lauscherinnen versuchen Sie nicht das Geheimnis dieses Textes zu lüften«, verfügt Friederike Mayröcker in ihrem neuen Prosawerk - aber schon sein Titel legt eine unfehlbare Spur. da ich morgens und moosgrün. Ans Fenster trete lässt keine Zweifel an dem, was immer noch Tag für Tag zu tun ist: hellwach und neugierig auf die Welt blicken und ihr eine Kunst abgewinnen, die Wörter in Sternschnuppen verwandelt und die Sprache selbst als einen schier unerschöpflichen poetischen Zauberkasten begreift: »meine Texte entstehen durch sich fortpflanzende Augen«, so eines der Geheimnisse, das die Wiener Dichterin ihren Leserinnen und Lesern doch noch preisgibt. Mag die »Leibhaftigkeit« im hochbetagten Alter auch mühselig geworden sein, mögen die Listen an Wörtern, die mit den Jahren abhandengekommen sind, auch länger werden, wie die Poetin selbst beklagt - »in meinen Träumen bin ich jung, in meinen Träumen bin ich high«, versichert Friederike Mayröcker, und dieses Credo gilt umso mehr für ihre unvergleichliche, grenzenlose und ganz und gar unausdeutbare Dichtung.