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Wer gebärt, muss leiden. Die frischgebackene Mutter Ana Wetherall-Grujic hat die Faxen dicke: Sie zeigt auf, wie unsere Gesellschaft Gebärende im Regen stehen lässt - und ihnen dann noch ans Knie pisst.
Vaginale Geburt oder Kaiserschnitt, Fläschchen oder Brust, Stoff- oder Wegwerfwindeln: Der Druck auf Mütter, alles richtig zu machen, ist enorm. Du willst doch das Beste für dein Baby!?, schalmeit es aus allen Ecken. Dabei heißt das Beste fürs Kind meist: das Umständlichste, Zeitintensivste und oft auch Schmerzhafteste für die Mutter. Ana Wetherall-Grujic sagt Nein: Nein, wir wollen nicht das Beste für das Baby. Wir wollen das Beste für uns. Ihr Buch ist Handreichung und Kampfansage zugleich: Das Baby ist nicht das verdammte Problem - und irrer Mutterkult schon gar nicht die Lösung.