«L'aisance avec laquelle Jie Wang transporte en chinois ces poèmes du répertoire
de la poésie française, de Hugo à Aragon, en passant par Rimbaud, nous évoque ces
musiciens chinois extraordinaires qui remportent de grands prix dans des concours
internationaux de musique pourtant occidentale. Les Français, fiers de leur immense
patrimoine poétique, doivent éprouver un grand regret de ne pas maîtriser le chinois
pour savourer les subtilités de ces versions, si proches et désormais si lointaines.»