De soie et de sang
Impossible d'étouffer l'affaire : la deuxième victime a été trouvée ce matin, en plein centre-ville. Même mise en scène que pour la première : robe de soie rouge, pieds nus, jupe relevée, pas de sous-vêtement. Le tueur signe son oeuvre avec audace et la presse s'en régale. C'est ce qui inquiète l'inspecteur Chen : pour s'exposer si dangereusement, le coupable doit avoir un plan diabolique...
« Un psychopathe libère ses pulsions dans le meurtre rituel et laisse la robe rouge comme signature. »
« Aussi désopilant qu'intelligent, De soie et de sang dresse un portrait sans concession de la Chine contemporaine. Passionnant. »
Marianne