Déesses de corrida
C'est nuit encore
Bouche au parfum
De café
De tabac un peu
Lointain, mes soeurs d'ange
Leurs fontaines offertes et
Leurs murmures aux princes
Dérisoires
Charmants étalons déambulant
Dans les drogueries de province
Un hommage puissant
À celles
Travailleuses de la nuit
Magnifiques ténébreuses
Un poème épique
Pour celles
Qui exigent d'être aimées