À vingt ans, fuyant Paris et mon chaos intérieur, je débarquai dans un Istanbul en pleine effervescence. Trois ans plus tard, j'y vivais encore quand je fis la rencontre d'Onur, « l'homme idéal », qui allait, pensais-je, réparer les fissures causées dans mon enfance par la mort de ma mère.
Tiraillée entre l'utopie du couple et mon désir viscéral de liberté, j'ai peu à peu laissé le petit diable qui était en moi mener la danse...
D'où nous vient ce besoin de dynamiter le bonheur ? L'amour justifie-t-il la souffrance que l'on cause ?