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"Garder le Mort - Den Toten bewachen": Dieses hier erstmals auf Deutsch vorgelegte Buch des französischen Dichters Jean-Louis Giovannoni steht in der französischen Gegenwartslyrik als eine Art Geheim-Ikone da. Seit seinem Ersterscheinen vor über 40 Jahren wird es immer wieder neu aufgelegt und diskutiert. Dabei ist es ein hartes Buch. Ein Buch vom Tod, dessen humorlos materialistische Macht über das Leben uns die Pandemie gerade wieder vor Augen geführt hat.Eine stille Gewalt ist in den über sechzig manchmal nur zwei Zeilen langen Gedichten zu spüren. Anfangs kreisen sie, in fragmentarischen Worten und Satzfetzen, um die Vorangst, die uns alle befällt, wenn sich der Tod in unsere Nähe schleicht. Danach wird es in Giovannonis Gedichten bald sehr körperlich: Das Abweisende des toten Körpers, Gedanken bei der Totenwäsche, beim Zurechtmachen des Leichnams - und dann das Fortleben des Toten in den Gesprächen der Lebenden: Worte verwesen nicht.Tröstlich in einem irgendwie gemütvollen Sinn ist das Buch nicht. Es ist existentiell. Für den Autor, weil der Tod seiner Mutter den Anlass für die Niederschrift bildete. Für den Leser, weil die Gedichte die immer wieder niederschmetternde Erkenntnis durchexerzieren, dass Leben nur mit der Gewissheit des gleichmacherischen Todes zu haben ist. Wenn Kenner der menschlichen Seele sagen, die einzige Möglichkeit, Todesangst zu bearbeiten, liege in der Konfrontation mit dem Körper eines Toten, dann ist die grimmige Totenwache, die Jean-Louis Giovannoni uns mit Garder le mort zumutet, eine gute, eine mutige Therapie.