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»Mein Lieber«, sagte Fürst Leopold von Sternberg zu seinem jüngeren Freund, dem Grafen Alexander von Herzfeld, »ich bin ganz deiner Ansicht. Wenn es ums Heiraten geht, darfst du auf niemanden hören als auf dich selbst.« »Das sagst du so einfach«, erwiderte der Graf niedergeschlagen. »Du kennst unsere Familie, Leo. Meine Eltern wünschen sich Enkel, sie möchten sich aus dem öffentlichen Leben nach und nach zurückziehen. Das können sie aber erst, wenn ich verheiratet bin – jedenfalls sehen sie das so. Und deshalb setzen sie mich unter Druck, mittlerweile recht massiv.« Leopold lächelte. Er war ein Mann, der die meisten anderen überragte mit seiner Größe von 1,92 Meter, weshalb er, nicht nur von den Angestellten im Schloß, gelegentlich »der große Fürst« genannt wurde, während sein fünfzehnjähriger Sohn Christian liebevoll-zärtlich »der kleine Fürst« hieß, obwohl auch er bereits 1,70 Meter maß. Aber natürlich bezogen sich diese Beinamen nicht nur auf die Körpergröße, sondern vor allem auf die derzeitige Stellung der beiden. »Der kleine Fürst« war vorerst noch ein Prinz, würde aber eines Tages den Fürstentitel von seinem Vater übernehmen. »Alle Eltern wünschen sich für ihre Kinder nur das Beste, Alex«, sagte Leopold. »Und sie möchten sie glücklich sehen. Das ist bei deinen Eltern nicht anders, du solltest es ihnen nicht übel nehmen.«