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»Der Insulaner verliert die Ruhe nicht!« Das Erkennungslied aus Günter Neumanns berühmtem Funkkabarett »Die Insulaner« erklang am 25. Dezember 1948 zum ersten Mal im Programm des RIAS Berlin und avancierte schon bald zur heimlichen Hymne der Berliner. »Die Insulaner« – von ihren Anhängern heiß geliebt, von ihren Kritikern als die Inkarnation eines sentimental-pathetischen Lokalpatriotismus verachtet und von der SED-Führung als »Kriegshetzer« verdammt – gehörten zu den umstrittensten Kabaretts der Nachkriegszeit. Dennoch waren sie in jenen Jahren die wohl populärsten Botschafter Berlins und vertraten die Interessen der Stadt mit Scherz, Satire, Ironie und tieferer Bedeutung.