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Die Gebäude der Albert-Ludwigs-Universität Freiburg lagen im Zweiten Weltkrieg nach dem Luftangriff vom 28. November 1944 in Trümmern. Zum Wiederaufbau fehlte es an vor allem an Baumaterial und Arbeitskräften. Das Rektorat und die französischen Militärbehörden verpflichteten daher die Studenten der Hochschule zu Arbeitseinsätzen auf den Baustellen in den Jahren von 1945 bis 1949. Die Studierenden sollten durch körperliche Arbeit ihren Beitrag zum Wiederaufbau leisten. Was uns heute eher ungewöhnlich erscheint, ist ein lange vergessenes Kapitel der Freiburger Universitätsgeschichte, das vom Autor erstmals historisch aufgearbeitet wurde. Anhand von umfangreichem Quellenmaterial werden die studentischen Arbeitseinsätze dargestellt und gleichzeitig die schwierigen Bedingungen der ersten Studentengeneration der Nachkriegszeit eindrucksvoll geschildert.