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»Wenn jemand auf einer hohen Etage stirbt,machen sie den Fahrstuhl drei Tage lang kostenlos.«In Ana Tcheishvilis Gedichten befindet sich das Leben auf der Kippe. Immer stellt sich die Frage: Wie weit reicht es? Wenn jemand in der Nachbarschaft verstummt, ist der Tod eventuell schon eingezogen. Tcheischvilis kraftvolle, archetypischeBilder wirken oft wie aus einer unwirklichen symbolischen Welt, sind jedoch schmerzlich konkret. So ist die Münze, die man für den Fahrstuhl einwirft, der tatsächliche Preis, den man zahlt, um zu den Toten zu gelangen. Die platzende Bolognese aus der Biotüte liest sich wie eine Wunde, ist aber auch das letzte gemeinsame Essen vor der Trennung. Eine rosa Wolke kann als Symbol für die Hoffnung auf ein Kind gelesen werden - sie ist aber vor allem der sich färbende Urin im Schwangerschaftstest.In absoluter Klarheit entwerfen Ana Tcheishvilis Gedichte eine Sprache, die Bruchstellen offenlegt. Ihre Sprache lässt Unsauberkeiten einer Logik zu Tage treten, die immer aufgeht, aber nie passt.