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Des millions d'hommes de tous les pays ont connu les camps et les prisons d'Union soviétique et parfois y sont morts. Parmi eux, des milliers de Français. Pierre Rigoulot a patiemment suivi leur trace en interrogeant d'anciens détenus, en dépouillant les archives officielles, en scrutant des témoignages aujourd'hui oubliés. Otages de la guerre civile, communistes enthousiastes, brusquement disparus au pays de leurs rêves, victimes des mesures de rétorsion qui suivirent la rupture des relations diplomatiques entre Vichy et Moscou, incorporés de force dans la Wehrmacht capturés sur le front russe, travailleurs en Allemagne et prisonniers de guerre libérés par l'Armée Rouge, mais jamais rapatriés, touristes partis pour quelques semaines, rentrés bien des années plus tard - ou morts dans un camp - les cas les plus divers se rencontrent parmi ces Français du Goulag. Malgré les dénégations des autorités soviétiques, les silences ou les réserves des diplomates, tout porte à croire qu'ils sont encore des dizaines, peut-être même quelques centaines retenus en U.R.S.S.